L’aiguillette – 26/08/2020

par | 29 Août 2020 | CR Challenge 1 A 12 R - 2020 | 0 commentaires

 VOL RANDO CHVD 2020

Date du vol rando : 26/08/2020

Organisateur de la sortie : Gérard Courouble
Participant(s) à la sortie : Simon-Pierre Jooris, Amaury Welemane

Massif : Belledonne

Orientation du déco : Nord-Ouest

Altitude du déco : 1800 m

Dénivelé :150 m

Durée de la marche : 10mn
Distance totale de la marche : 500m
Atterro :

Itinéraire de montée :
Lorsque vous êtes au Recoin, monter en direction du nord vers une colline sur laquelle trône une biroute, et c’est tout, préférer monter au vent pour sentir la brise et sa force.

Récit de l’aventure :
Suivant une initiative de Gérard, nous prenons le bus à Uriage pour le retrouver dans les airs, lui étant parti plus tôt. On s’était inquiété de ne voir aucune voile dans le ciel mais lui qui gravissait à ce moment la pente nous a rassuré sur les conditions… Une montée hop-hop-hop au pas de course et nous voilà aussi virevoltant que des poussières au vent. Un bon 10 de face nous a permis un joli décollage mais le thermique bien repéré auparavant ne veut pas beaucoup nous élever, alors on patiente et on y croît ! Jusqu’à ce que SP se laisse tranquillement dériver au SE et commence à longer la montagne… Je le vois au loin et n’ose le retrouver, et lui continue sa route direction Le Grand Colon, pendant que j’essaie d’exploiter au mieux des thermiques plus généreux. Enfin j’en tiens un parfait qui me propulse à 2250m, ce qui n’a pas échappé à l’œil averti de notre GO qui fait une proposition qu’elle est bonne de se retrouver au Grand Colon, et ça marche plutôt bien. Entretemps Gérard était parti à l’atterrissage, et je me concentre sur la montée en épaulette depuis 50m en-dessous de la cabane, pas évident au premier abord ! Mais des rapaces font signe à SP que c’est par là que ça se passe, je leur emboîte le pas, et de thermique en thermique le sommet nous accueille et nous permet même de le survoler, au moins jusqu’à 2650m. Je vais un peu plus loin, histoire de se régaler les yeux un chouïa, puis nous entamons un doucereux glide final vers l’atterrissage. Certains diraient, pour les paraphraser, ou les parapentephraser, « c’était le plus beau vol de ma vie »… On en reprendrait bien un peu beaucoup plus !

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