LE NAIN

[et_pb_dcsbcm_divi_breadcrumbs_module homebreadcrumbtext= »Accueil » hide_currentbreadcrumb= »off » disabled_on= »on|on|on » _builder_version= »4.14.2″ custom_margin= »0px||20px| » custom_margin_tablet= » » custom_margin_phone= »0px||0px| » custom_margin_last_edited= »on|phone » custom_padding= »0px|20px|0px|20px » fontsbreadcrumblinks_font_size_tablet= »51″ fontsbreadcrumblinks_line_height_tablet= »2″ disabled= »on » global_module= »1248″ saved_tabs= »all » global_colors_info= »{} » fontsbreadcrumbs_font_size_tablet= »51″ fontsbreadcrumbs_line_height_tablet= »2″ fontsseperator_font_size_tablet= »51″ fontsseperator_line_height_tablet= »2″][/et_pb_dcsbcm_divi_breadcrumbs_module]

Le nain de jardin est une tradition qui remonte à des temps immémoriaux.
Toutefois, cette légende se transmet oralement depuis des décennies, uniquement aux rares élus qui ont eu l’honneur de recevoir ce trophée.

Sans toutefois briser mon serment, je puis vous révéler une partie de la tradition.

Tout d’abord, sachez que ce nain a existé, en voici d’ailleurs une photo, prise en vol une nuit de pleine lune (vous le voyez, on distingue une ombre en haut à droite)

 

Mais un jour, dans des circonstances inconnues, à une dates révolue, en un lieu tenu secret, pour des raisons oubliées (en bref on n’en sait rien !)
il a disparu, et nous a laissé le nain que vous connaissez tous, et que voici :

 

Notez que la qualité un peu médiocre de cette photo est due à un paramétrage de mon firewall qui m’empêche de publier des photos d’une certaine taille. Passons…

Je ne puis pas tout vous révéler, mais sachez toutefois que ce nain doit lui aussi être transmis, d’un membre à l’autre, à l’occasion d’un rituel long et complexe et incompréhensible par les non initiés…. Cette cérémonie a lieu chaque année en un endroit pas secret du tout (généralement annoncé quelque semaines auparavant par mail à l’ensemble du club)

Les non initiés croient encore que ce nain est alors attribué à celui qui a fait la plus belle « bêtise » en parapente, sans pour autant se faire mal. mais c’est bien plus compliqué cela, sachez le.

Simon-Pierre Jooris